Les ficelles de l’art

HORS LES MURS > ITINÉRANCE
23 JUIN À AFFLÉVILLE | RDV 9 rue du château
24 JUIN À BRAINVILLE | RDV 23 Grand'rue
25 JUIN À JEANDELIZE | RDV 51 rue de RDV 9 rue de Verdun
 
LECTURE DANS UN JARDIN
La compagnie Cordialement s’installe dans un jardin de la commune, et propose des extraits de sa prochaine création Bâtir sur le sable
Bâtir sur le sable entremêle les vies de trois personnages : Charlotte, Sara et Laurent. Trois personnages, trois perceptions diamétralement opposées de la parentalité. A chaque lecture, la Compagnie Cordialement met en lumière l’un de ces parcours, et vous propose d’entendre une version de l’histoire.
 
Charlotte ne veut pas d’enfant. Elle le sait depuis qu’elle est toute petite. Quand elle décide de se faire ligaturer les trompes, sa vie devient malgré elle une revendication permanente.
Sara, sa meilleure amie, ne sait plus vraiment si son désir d’enfant est le sien ou celui des autres. Brillante statisticienne, elle ne tarde pas à se trouver tiraillée entre sa famille et son travail.
Laurent est victime d’une maladie génétique qui l’empêche de faire descendance. Confronté aux limites de son propre ADN, il décide de faire appel à un donneur de sperme.
 

Les spectateurs sont ensuite invités à partager un verre de l’amitié, avant d’assister au spectacle qui aura lieu dans la salle des fêtes de la commune. 

LES FICELLES DE L'ART

© Cie Mamaille

Théâtre 
Compagnie Mamaille
 
Texte, interprétation et son Hélène Géhin
Lumière Brice Durand
Regard extérieur Laurent Fraunié
 
 
Une conférencière entreprend d’expliquer la mécanique de l’acteur en décortiquant les techniques et les ficelles du métier. Cette démonstration, largement influencée par le style des tutoriels, prend le spectateur à partie à travers des questions comme : Comment jouer la tragédie grecque ? Comment jouer en alexandrins ? Comment représenter
la mort sur scène ? Comment jouer avec un masque ?

Une couleur absurde, voire clownesque s’insinue rapidement dans le discours de la conférencière. Le spectateur sourit de ses raccourcis et rit de ses représentations étriquées qui sont nourris d’une image désuète de l’artiste.